De Jonathan Coe à J.K. Rowling ou de Ian McEwan à Joanne Harris, la littérature anglaise contemporaine, héritière de Shakespeare et de la tradition victorienne, est tributaire de son histoire.De la satire sociale ou du roman sentimental, les auteurs anglais savent nous faire réfléchir tout en nous amusant.Ils connaissent les rouages du policier, héritier d’Agatha Christie, et de l’ironie romancé telle Jane Austen.
Le club de lecture vous laisse le choix de l’œuvre, sur le thème du Grand Empire Britannique le samedi 14 septembre de 14h à 16h.
Durant cette période de vacances, nous voyagerons en Italie, à travers la littérature Italienne, l’Italie vue par des auteurs Italiens, Belges, Anglais… Le but est de nous faire découvrir ou redécouvrir ce pays.
par Nathalie LEGAYE, donneuse de leçons d’optimisme
Le jeudi 17 octobre 2013 à 19h30
ENTREE LIBRE
“La créativité” est un concept très à la mode. Pour preuve, les sites web, les livres et les formations qui prodiguent leurs conseils pour développer le potentiel créatif de l’humain ne se comptent plus.
Pour comprendre ce qu’est la créativité, nous vous proposons une leçon de tricot théorique et de broderie philosophique autour de quatre questions fondamentales : Qu’est-ce que la créativité ? L’homme est-il un être créatif ?Contrainte et créativité font-elles bon ménage ?En quoi la créativité nous fait-elle devenir Autre ?
Proposer une aide aux jeunes de moins de 18 ans en difficulté et aux enfants considérés en danger (c’est à dire dont la santé ou la sécurité est menacée), est le rôle du Service d’Aide à la Jeunesse.
Venir en aide aux parents qui en font la demande parce qu’ils rencontrent des difficultés avec leurs enfants. Intervenir à la demande des jeunes ou de leurs familles, ou parce que des inquiétudes lui ont été transmises par une personne extérieure à la famille, par un service, par une école ou par le parquet.
Quelle est la place du jeune et de sa famille dans le cadre de la citoyenneté ?Telle est la question à laquelle Monsieur Vega va répondre, afin de nous permettre de mieux comprendre l’évolution de cette tranche de la société, à travers le récit de tranches de vies.
Tu te souviens peut-être de ce personnage de la haute antiquité greco-égyptienne qu’on appelle : Hermès le Trismégiste.
Bien moins connu que d’autres, Il a pourtant la réputation d’avoir écrit sur une petite tablette d’émeraude une petite œuvre qui perturbe et incite à la réflexion.
Outre quelques formules alchimiques, cet écrit connu sous le nom de « Table d’émeraude » évoque en premier, la correspondance existante entre le macrocosme et le microcosme. « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. ».
A-t-il réellement vécu ?… Est-ce un mythe ?…. là n’est pas l’essentiel pour nous. Mais qu’une telle éventualité ait pu être pensée en une époque aussi lointaine, voilà qui devrait nous perturber.
Il aura fallu que passent des siècles et des siècles, que la science connaisse toutes les découvertes qui l’ont alimentée, que ses progrès aient été gigantesques et que soit finalement abordée, la structure de l’atome et plus encore de son noyau, pour que l’homme s’aperçoive enfin que l’infiniment petit et l’infiniment grand se ressemblent comme deux gouttes d’eau.
Cette découverte finale que personne aujourd’hui ne remet plus en cause l’a-t-elle pour autant amené à méditer sur sa condition, à se situer par rapport à cet infini qui l’entoure, à mesurer à quel point son existence devrait se représenter de manière infinitésimale ?
Et bien… je pense que Nenni !
Il suffit pour s’en convaincre de jeter un bref coup d’œil sur les quelques applications qu’il a pu tirer de la prodigieuse découverte.
Bien sûr toutes ne sont pas mortifères mais quand bien même ? … S’il n’y en avait qu’une, ne serait-elle pas « une de trop » à elle seule ?
A quoi servirait d’inventer une machine qui peut sauver dix mille hommes si cette même machine était capable d’en anéantir cinquante mille par la seule volonté d’un seul d’entre eux.
« Mais personne ne peut imaginer une telle cruauté !! » pourrait-on objecter.
J’aimerais bien m’en persuader mais ce serait sans compter avec cet anthropocentrisme destructeur qui nous dégrade et nous permet toutes les exactions possibles sur notre milieu, ce serait sans compter avec ces dogmes dits « révélés » qui deviennent le véritable enfermement de ceux qui se disent prêts à mourir, mais de préférence à détruire, à tuer tout ce qui ne correspond pas à leur obsession et qu’ils considèrent comme indigne de la vie.
Alors, oui mon Ami, j’ai l’intime conviction que l’homme en a pour des siècles encore à apprendre d’abord et puis à cultiver l’art du doute, véritable moteur du perfectionnement, avant de gagner son titre d’ « HUMAIN »
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